José Vitoria, ainé d’une fratrie, avait émigré encore enfant à Badalone (Barcelone) où il adhéra encore adolescent au syndicat CNT de la métallurgie. Il y occupa de nombreux postes de responsabilité et en fut le délégué au Comité de la fédération locale et au comité pro-presos notamment pendant la dictature de Arlegui et Martinez Anido.
Passé en France lors de la Retirada à l’hiver 1939, il s’installa par la suite à Roquemaure et continua de militer à la FL-CNT de Nîmes. José Vitoria est décédé des suites d’une grippe le 14 mars 1969.