Julio Minguillon avait milité à la CNT de Mataro (Barcelone). Exilé en France après la guerre, il s’était installé à Cahors où il fut dans les années 1950-60 le secrétaire de la FL-CNT. Il était également le responsable du syndicat du bâtiment CGT- Force ouvrière. Il a collaboré à divers titres de la presse de l’exil dont Solidaridad obrera (Paris, 1959), Solidaridad (1961), Espoir (Toulouse) et Boletino interno (1965).
Julio MInguillon est décédé à Cahors fin 1965 ou début 1966 lors d’un accident du travail.