Miguel Pérez Bayo s’était exilé en France dans les années 1920 et s’était intégré au mouvement libertaire tant espagnol que français. A la proclamation de la République il était rentré en Espagne où il continua de militer au syndicat CNT des ouvriers verriers. Passé en France lors de la Retirada, il émigra par la suite en Amérique latine et rejoignit son frère Francisco au Venezuela. Il ne semble pas avoir continué à militer au Venezuela où il devait décéder en 1965.