Selon La Révolte (Paris, n° 39, 10-18 juin 1893), Fritz-Edourd Schneider avait fait partie des compagnons arrêtés après la bataille devant chez Gygax à Saint-Imier. Mais il ne figure pas dans la liste des condamnés. Toutefois, le 15 octobre 1894, la police politique demanda au procureur de la Confédération des informations complémentaires sur lui : « actuellement domicilié à St. Imier, condamné le 2 mai 1894 à 4 mois de prison pour troubles » : y a-t-il confusion avec Friz Stettler ?
Au printemps 1903, il figurait sur l’État signalétique confidentiel des anarchistes étrangers non expulsés résidant hors de France.