Pendant la dictature de Primo de Rivera, Vicente Marcet Vidal avait dû s’exiler en France dont il fut expulsé en 1929 en Belgique. Retourné en Espagne après la proclamation de la républqiue, il fut l’un des orateurs de la CNT-FAI et collabora pendant la révolution à la revue Ideas (Hospitalet, décembre 1936-1937) qui s’opposait à la participation gouvernementale de la CNT.
Passé en France lors de la Retirada, il parvint à s’embarquer pour le Mexique où en 1945 il était membre avec Liberto Callejas et H. Plaja de la commission de correspondance de la CNT orthodoxe. En 1947 il était membre avec H. Alonso et A. Grasa de la commission de révision des comptes de la sous délégation de la CNT au Mexique. Au printemps 1950, avec Jaime Carbo, Gabriel Pérez et Luis Romera, il avait été nommé rapporteur de la CNT au Mexique aux cotés de Juan Font (secrétaire), J. Rosquillas Magriña (trésorier) et B. Cano Ruiz (comptable). Il avait pour compagne l’une des filles de la famille Ocaña.