Demeurant au Bourg de Trélazé, Victor Hardouin avait été fiché fin 1894 par les gendarmes qui l’avaient classé n°51 des anarchistes de Trélazé.
Il pourrait s’agir du Harduin (sic) qui au début des années 1910 figurait sur une liste d’anarchistes de Charente-Inférieure et était marchand de journaux à Saintes.
A-t-il un rapport avec Hardouin qui en 1911 était le gérant du bulletin antimilitariste L’Abattoir (Paris), organe des jeunesses socialistes révolutionnaires du 18e arrondissement dont La Bataille syndicaliste (30 octobre 1911) signalait qu’il avait été poursuivi suite à la campagne menée contre les bagnes militaires ?