Ouvrier métallurgiste à l’usine Saint-Jacques de Montluçon, l’anarchiste Louis Donvau Celine était signalé dans un rapport du Commissaire central de Montluçon au Préfet de l’Allier daté du 20 avril 1906, comme le meneur de la « vingtaine d’éléments très durs chez les métallurgistes de Désertine ». En outre il était signalé que Donvau avait « failli provoquer une échauffourée lors de l’inventaire des biens de l’église de Désertine » ; il avait quitté son travail pour s’y rendre et était « entré dans l’église avec son chapeau sur la tête tout en fumant un cigare ».