Jérôme Mertens, qui était en relations avec le militant libertaire Decorte, milita dans les années 1880-90. Il était abonné à de nombreux périodiques anarchistes dont La Révolte, Les Temps nouveaux et Le Père peinard. Il était signalé comme fréquentant toutes les réunions anarchistes et comme paraissant “être d’un caractère violent et dangereux”.
Selon la police il aurait cessé de militer après 1907.