Militant du groupe de Paris-centre de la Fédération anarchiste, Louise Le Bourhis était également membre de la Fédération des Jeunesses Anarchistes (FJA) qui publiait le bulletin intérieur Amitié (Paris, 2 numéros en 1946) dont le gérant était Louis Fassier. Lors du congrès tenu par la FJA à Dijon le 13 septembre 1946 auquel étaient représentés 12 groupes (Dijon, Lille, Paris centre, Paris est, Paris nord, Nîmes, Caen, Marseille, Bordeaux, Colombes, Trélazé et La Richelle) et excusés les groupes de Commentry, Sens et Toulouse, elle fut élue secrétaire administrative du Comité national. Les autres membres du CN de la FJA élus à ce congrès étaient : G. Fontenis (secrétaire général), G. Mazzochi (relations internationales), René Busset (propagande), René Souchay (responsable matériel), Raymond Robic (administrateur presse et éditions), Paul Chaps et François Muñoz (comité de presse), Marcelle Clavé (secrétaire à l’Entraide) et Louis Fassier (trésorier). Dans les années 1950 elle était membre de la Fédération Communiste Libertaire (FCL) et son domicile du 2bis rue d’Enghien (Paris 10e) figurait sur les listes à surveiller par la police.