Orphelin de ses parents, José Augusto avait été élevé par ses se grns parents avant de gegner Barcelone où il allait travailler comme ouvrier briquetier et militer à à la CNT.
Pour échapper au service militaire, il était passé en France au début des années 1920. Par l’intermédiaire du compagnon José Bonet, il y entra en contact avec les milieux anarchistes locaux et avec le compagnon Gibanel et d’autres du groupe Espoartaco s’instala à Paris. Il y participa aux campagnes en faveur de Sacco et Vanzetti, d’Ascaso, Durruti et Jover. Il assistait également aux causeries de S. Faure, Armand et Han Ryner. Parallèlement il aidait à l’administraion de la presse anarchiste des exilés espagnols et aussi à des passages d’armes à frontière. En 1934 il travaillait dans une brasserie et ses activités lui valurent d’être arrêté.

Rentré (ou expulsé ?) en Espagne, il y participait à la lutte contre le coup d’État franquiste, puis passait en France lors de la Retirada. En France il travailla comme ouvrier agricoles jusqu’au début des années 1950.

En 1951 il émigrait avec sa compagne au Brésil et s’installait à Porto Alegre où il allait continuer de militer aux cotés notamment de Puig Elias et de Pujol. Délégué à un congrès anarchiste tenu à São Paulo, il fut l’un des fondteurs des Éditions Proa, soutint le journal O Ptotesto et, en 1953 participa à la fondation du Centro cultural y artistico de Porto Alegre.

José G. Augusto avait pour comagne la militante libertaire Mercedes Linares.