Au début des années 1910, Olivier Rolland travaillait à l’atelier de chaudronnerie de l’arsenal de Brest. Fiché comme libertaire antimilitariste militant, la police signalait en 1909 qu’il “serait susceptible de faire du sabotage en cas de mobilisation”.
Demeurant 31 rue Suffren à Brest, en 1935 il figurait toujours sur l’État des anarchistes du Finistère et était inscrit au Carnet B.