Jules Hiverlet avait été l’objet fin novembre 1893, comme les autres anarchistes de Reims, d’une perquisition rue du Cernay où la police avait saisi une quarantaine d’exemplaires du placard Les anarchistes à leurs camarades d’atelier et la brochure La loi et l’autorité. Il figurait sur l’État des anarchistes de Reims de février 1894. Ce même mois de février il avait été l’objet d’une nouvelle perquisition comme tous les compagnons de Reims. A l’automne 1895 il était parti pour Roubaix avant de revenir par la suite à Reims. En mai 1904 il était de nouveau parti pour Roubaix où l’avaient rejoint sa compagne et leurs enfants. Selon la police cela faisait plusieurs années qu’il ne s’était pas fait remarquer.
Jules Hiverlet était le beau-frère du compagnon Charles Sourmail de Roubaix.