Passé en France lors de la Retirada, Victor Guitart avait été ensuite affecté à une compagnie de travailleurs étrangers pour travailler aux fortifications de la ligne Maginot dans la Meuse. Lors de la retraite de mai 1940 devant les troupes allemandes, il était parvenu à s’échapper et même avait dû se cacher dans la tombe d’un cimetière entre la Meuse et la Marne.
Dans les années 1970 il collaborait à Espoir (Toulouse)