José Fernandez Taro avait été pendant la guerre milicien dans un régiment confédéral et avait été grièvement blessé au poumon. Passé en France puis déporté en Afrique du nord (ou passé à la fin de la guerre en Afrique du nord puis envoyé en France), il fut interné dans divers camps. Après la Libération il continua de militer en France à la CNT en exil. A la fin de sa vie il résidait à la résidence de la Cologne à Marvejols (Lozère) et était membre du groupe cénétiste de la résidence.
Juan Fernandez Toro est décédé début juin 1974 et a été inhumé à Marvejols dans un drapeau rouge et noir.