José Francisco avait commencé à travailler très jeune comme docker, puis comme marin chauffeur et employé à la Caisse de prévoyance de la marine marchande. Militant de la Confederaçao geral do trabalho (CGT) il fut secrétaire de la Fédération des transports maritimes et fluviaux.
En 1934 il était membre avec Mario Castelhano, José Francisco, Acacio Tomas Aquino, du conseil confédéral de la CGT qui prépara la grève générale du 18 janvier 1934 contre l’intégration des syndicats au système fasciste. Deux mois après l’échec du mouvement il fut arrêté avec le compagnon Acacio Tomaz Aquino. Traduit devant un tribunal militaire, il fut condamné à une lourde peine et fut interné à la prison de Peniche où il allait rrester 3 ans.
Après la révolution des œillets du 25 avril 1974 et la chute de la dictature, il participa à la reconstruction de la CGT et collabora à son organe A Batalha. Il s’intégra également à la rédaction de la revue libertaire A Idea jusqu’à son décès survenu le 4 mai 1990.